La Zulu Nation

Bon ben voilà j'aimerais lancer un ptit débat, et connaîte votr eopinion sur la Zulu Nation, qui est quand même à la base du hip hop et qui étrangement ne possède pas de Chapter en France qui est pourtant un pays très actif dans le domaine

J'comprend pas trop le thème du débat.

Enfin je pense qu'il faudrait que tu reprécise ce qu'est exactement la Zulu Nation, parce que je connais de nom, je vois la gueule de quelques types, je sais qu'ils sotn à la base du hip hop avec afrika bambatta.


Mais leur utilité à l'heure actuelle je connais pas vraiment.

L'universal Zulu nation a été effectivement créée par Afrika Bambaataa et elle a pour but de développer une philosophie de vie, de transformer les tensions en energie créatrice (comme les rap, le break, le graff etc) et de développer des valeurs propres au Hip Hop qui ont tendances à être oubliées voir même développées à l'inverse dans le mouvement : le respect de l homme, de la nature etc

L'utilité de la Zulu Nation actuellement cest de transmettre ses valeurs et de faire bouger le mouvementen organisnt des concerts etc

il y a à débattre car justement la philosophie du mouvement semble s'être vaguemetn éloignée des sources et aussi beaucoup remettent en question l'utilité justement de la Z N

ben oui elle est morte la zulu, c'est dommage ^^

ya des vandales qui ont piqué l'idée, qui se sont taillé avec, qui on fait des changements et qui se sont fait du blé...

ya rien d'autre à dire

okok

bah perso je pense que c'est une bonne chose, je pense que s'il y avait plus de "Zulu Nationisme" il y aurai surement moins de rap de merde du style Ghetto, truand gangster voyou.

Et plus de rappeur qui font du rap, simplement pour que celui qui écoute passe un bon moment. meme sans un thème ultra profond.

de toute façon, cet esprit se perd, et surtout en France, c'est de plus en plus dur de trouver du Hip-Hop, que ça soit dans le rap, le b-boyin', le graff...

En tout cas la Zulu n est pas morte en Suisse, mais elle est trop discrete à mon gout,
le problème c'est que les gens ne savent meme pas ce que c'est et Zohar je crois pas que les gens qui ont prostitué le hip hop se soient réclamé de la Zulu Nation? si?

d'ailleurs pour vous c'est quoi le Hip hop?

ben c'est simple parle de zulu nation, a n'importe qui, il te dira "zulu koi ?"

et ira s'acheté un cd de fifty cents...

le hip hop ? oui c'est ce que j'essais vaguement de ranimé chez les gens ^^

avec un bon "projet"

qui sait ?

le hip hop est toujours vivant... dans l'esprit des gens qui savent ce que c'est vraiment...

c'est comme si il avait mis un masque... avec ecrit dessus "bling bling, gangsta"

Pour moi la différence entre le rappeur et le mec qui fait du hip hop, c'est comme Sinik le dit (pour une fois il n'a pas tord), le mec qui fait du hip hop, c'est le gars qui à son sac à dos, qui sillonne la France, ou sa région en quete de scène, de battle, de connexion avec d'autres types.


Le rappeur bah c'est le gars qui enregsitre en studio qui sort pour faire des scènes prévus, etc... ya ce coté plus carré, plus prémédité chez le rappeur pour moi, alors que le type hip hop sera plus spontané dans sa démarche.

C'est un peu ce que dit sinik (en se classant chez les rappeurs biensur)

ouais mais la tu réduis le hip hop au rap tako

oauis zohar je suis dak avec toi, mais le masque il est salement collé, avec de la super glue à double composant "médias" et "bêtise humaine"

Ouai ouai je donnaitma définition du hip hop du coté musical.

Mais après tu peu facilement élargir ça au break ou autre, tu constatera d'ailleur que le break étant moins médiatisé que le rap, il ya bien plus de type qui rentre dans l'état d'esprit hip hop je trouve, puisque c'est vachement des petits évènements organisé, ou chacun se pointe à l'arrache et tac battle.

ouasi t'as raison sur ce coup, mais bon y a bcp de breakeurs qui sont là aussi parce que ca épate les filles mdr

mais ce qui est sur, c'est que plue un mouvement est exposé, plus il perd son esprit!!!

car quand on s'interesse à un mouvement, on va pas s'attacher juste au superficiel, on va rentrer dans le truc...
alors que quand c'est le mouvement qui s'interesse à nous, via les médias, on va juste s'interesser au superflu, oublier les valeurs, car elles ne seront pas transmises par les médias...

Tako a écrit:

Pour moi la différence entre le rappeur et le mec qui fait du hip hop, c'est comme Sinik le dit (pour une fois il n'a pas tord), le mec qui fait du hip hop, c'est le gars qui à son sac à dos, qui sillonne la France, ou sa région en quete de scène, de battle, de connexion avec d'autres types.


Le rappeur bah c'est le gars qui enregsitre en studio qui sort pour faire des scènes prévus, etc... ya ce coté plus carré, plus prémédité chez le rappeur pour moi, alors que le type hip hop sera plus spontané dans sa démarche.

C'est un peu ce que dit sinik (en se classant chez les rappeurs biensur)

bon je remonte un vieux topic mais bon ^^

euh tako...un rappeur c'est un mec qui fait du hip hop...

vu que hip hop = rap break dj graff

donc voila....c'est un peu bizar comme raisonement

Tako a écrit:

Ouai ouai je donnaitma définition du hip hop du coté musical.

Mais après tu peu facilement élargir ça au break ou autre, tu constatera d'ailleur que le break étant moins médiatisé que le rap, il ya bien plus de type qui rentre dans l'état d'esprit hip hop je trouve, puisque c'est vachement des petits évènements organisé, ou chacun se pointe à l'arrache et tac battle.

euh bof....yen a qui se tape sur la gueule, ya des films qui sont fait dessus (une bonne floppé) et n'importe qui maintenant dit qu'il fait du break a partir du moment ou il commence a reproduire les pas ...

jveu dire....le mouvement qui perdra jamais de sa valeur dans le hip hop c'est bien le graff...

pourquoi ? parceque ya rien de plus "vrai" qu'un graff dans une rue sur un bus ou sur un train...
et pourquoi ?
parceque c'est toujours dans le vandalisme, et donc ça reste dans son principe...

maintenant ce qu'on voit dans les galleries...c'est pas du graff vu que l'essence meme de cet art (a savoir le vandalisme, et la rue) et totalement supprimé...du coup on reconnait bien le fake du vrai...

après on va meme pas parlé de dj ^^
le graff c'est frais quand même

Scalpel a écrit:

Tako a écrit:

Pour moi la différence entre le rappeur et le mec qui fait du hip hop, c'est comme Sinik le dit (pour une fois il n'a pas tord), le mec qui fait du hip hop, c'est le gars qui à son sac à dos, qui sillonne la France, ou sa région en quete de scène, de battle, de connexion avec d'autres types.


Le rappeur bah c'est le gars qui enregsitre en studio qui sort pour faire des scènes prévus, etc... ya ce coté plus carré, plus prémédité chez le rappeur pour moi, alors que le type hip hop sera plus spontané dans sa démarche.

C'est un peu ce que dit sinik (en se classant chez les rappeurs biensur)

bon je remonte un vieux topic mais bon ^^

euh tako...un rappeur c'est un mec qui fait du hip hop...

vu que hip hop = rap break dj graff

donc voila....c'est un peu bizar comme raisonement

me rappelai plus du mot utilisé , en fait c'est Emcee et Rappeur les 2 mots qu'il différencie

Scalpel a écrit:

Tako a écrit:

Ouai ouai je donnaitma définition du hip hop du coté musical.

Mais après tu peu facilement élargir ça au break ou autre, tu constatera d'ailleur que le break étant moins médiatisé que le rap, il ya bien plus de type qui rentre dans l'état d'esprit hip hop je trouve, puisque c'est vachement des petits évènements organisé, ou chacun se pointe à l'arrache et tac battle.

euh bof....yen a qui se tape sur la gueule, ya des films qui sont fait dessus (une bonne floppé) et n'importe qui maintenant dit qu'il fait du break a partir du moment ou il commence a reproduire les pas ...

jveu dire....le mouvement qui perdra jamais de sa valeur dans le hip hop c'est bien le graff...

pourquoi ? parceque ya rien de plus "vrai" qu'un graff dans une rue sur un bus ou sur un train...
et pourquoi ?
parceque c'est toujours dans le vandalisme, et donc ça reste dans son principe...

maintenant ce qu'on voit dans les galleries...c'est pas du graff vu que l'essence meme de cet art (a savoir le vandalisme, et la rue) et totalement supprimé...du coup on reconnait bien le fake du vrai...

après on va meme pas parlé de dj ^^
le graff c'est frais quand même

c'ets idiot ce que tu dit jtrouve.
T'assimil bien trop le mouvement artistique à l'attitude du mec.

Le mec qui graff dans une gallerie s'il graff une véritable tuerie bah pour moi il est tout aussi respectable que le gars qui graff en vandal une tuerie sur un train.

si le mec à envie de respecter la loi et de faire du graff, jvoi pas en quoi il ets moins hip hop, ou moins vrai comme type


ensuite t'es le premier a dire oui le hip hop c'est Love peace et Unity, là tu mdit que le type est hip hop parce qu'il fait du vandalisme, ça me parait incohérent.

depuis quand le vandalisme est considérer comme quelque chose détruisant l'unité, l'amour, la paix ?
c'est pour ce sortir des ghettos pour laché un cri contre les injustices sur lesquels l'état ferme le yeux que le hip hop est né dans les ghettos...

si ya plus de gens pour representé et crier contre l'etat...a quoi sert le hip hop
non non vandalisé par le graff est indispensable ...
faire un graff sur un train n'a jamais tué personne...c'est du vandalisme ok...mais c'est pas de la haine...
c'est une manière positive de lutté...

Citation :

et l’insécurité monte, s’immisce
dans les moindres petits interstices
favorise les actions de la police,
crée des milices et des militaires en faction,
ratissent n’importe quel simili métis,
alors en gravure, en peinture, sur les murs
sans rature, des signatures signifiant no future,
telle est la conjoncture, c’est pas la vie qui est dure,
mais cet endroit qui nous tuera à l’usure

jdit pas que le gars fait de la merde en gallerie...jdi juste qu'il fait de l'art et plus du graff...

sur les trains ok, mais jconnais des type qui se sont fait recouvrir leur bagnole de tag immonde, bah crois moii quand tu doit payer pour refaire la peinture de ta caisse sa trou le cul.

et je vois pas en quoi sa rapproche les gens au contraire, et c'est pareil els magasins qui se font recouvrir leur deventure.

jdi pas que c'est très très grave, mais simplement que c'est tou sauf en faveur de l'unité

euh le break dance non plus ne va pas "unir" les gens plus...

"ouah j'ai vu un gars dansé, ça ma donné envie de m'unir"

non non ...c'est létat d'esprit de ces gars la qui doit etre comme ça

et ceux qui tags les bagnoles des gens, n'ont rien capté...c'est pas aux gens qu'il faut faire ça..........

bah oui mais il y en à la pelle des types qui tag des trucs qui font chier les gens et en aucun cas les institutions.

et ok le break n'unit pas, mais au moins il gène personne.

alros que moi le type qui peint ma bagnole sans mon accord j'ai clairement envie de lui démonter la gueul.

ben oui c'est clair ^^

ta ptet des ennemis c'est pour ça ^^

Bon, moi perso ya 2/3 jours jrelisais un livret d'un des cd que javais acheté ya un bout de moment. c'est interressant...et vu que j'ai rien a branler jvais l'retaper...aahha



"Il est impossible de parler honnêtement de rap sans parler de ce qui l'explique et le compose, la culture hip hop, ce conttexte dans lequel elle émerge et evolue.Car loin d'être isolée, cette musique est cross-culturelle, le produit direct d'une situation sociale, économique, politique, artistique et communautaire singulière. elle s'inscrit dans une tradition, celle de l'expression sociale à travers le monde du spectacle.

Elle prends majoritairement son influence du côté de la musique des Caraibes, et plus exactement de celle du "toasting" technique de parler sur la musique - et des "blues dance"- salle de danses des ghettos - en cours de jamaique fréqauentée par des marins américains. Ils y emmènent dans leurs bagages du R&B d'origine qui, passé par le filtre e la culture musicale de l'île, sera de nouveau recyclé par les artistes américains sur le continent. Eux, y rajouteront technologie et électronique. Conséquence, une influence majeure sur l'évolution de la musique aux Etats Unis.
C'est un jeune américain originaire de jamaïque immigré en 1967 à NYC, Clive Campbell, renomé Kool Herc par ses amis en raison de son imposante stature physique qui importera et popularisera cette culture sous la forme qu'on la connait aujourd'hui.

C'est dans le quartier du Bronx, dans l'amérique des années 70 que l'on peut situer le début de l'aventure rap à travers un autre signe artistique, le graffiti. En effet, dix ans plus tôt, la construction d'un métro aérien puis d'un complexe de HLM de 10.000 appartements a fait fuir les classes moyennes italiennes, allemandes, irlandaises et juives, que les communautés pauvres hispaniques et noires remplacent. Liés à leurs condition de désoeuvrement social, le chômage et la drogue. Les propriétaires d'immeubles vont rapidement céder leurs propriétés à des vendeurs de sommeil qui préféreront toucher les assurances d'incendies qu'ils auront eux-même commanditées plutôt que d'entretenir leurs immeubles.

C'est dans ces conditions qu'apparaissent les graffitis et le langage codé de leurs auteurs. En 1968, un nouveau projet, le Co-Op City, seconde tranche de HLM, va générer l'apparition d'un groupe d'adolescents, les Savages Seven - Il s'appelera plus tard les Black Spades au fur et à mesure qu'il grandit -, qui va téroriser le quartier et donner naissance aux premiers street gangs. La terreur va durer des années. Les Blacjs Spades ont en leur sein un certain Afrika Bambaataa - L'inventeur de la Nation Zulu et de ses principes de non-violence en 1975, mais également Dj notoire qui va élargir la sphère de la musique de références noires en y ajoutant des influences de Rock et de musiques électroniques européennes...

Cette violence des gangs va diminuer au fur et a mesures que les adolescents deviennent des jeunes femmes désirant des enfants et se rebellent face à la disparition violente d'amis, de frères. dans une Amérique des années 70 ou la cultures des clubes et le Peace Movement explose, les gangs déclinent. Le graffiti se transforme et passe de code des gangs à un langage axé sur l'évolution de la forme artistique. Plusieurs équipes se composent et leurs travaux s'entrecroisent, entrent en compétition.

Il faut attendre les années 80 pour que le lien intrinsèque entre graffiti et rap soit officialisé. Il l'est via un article rédigé par Richard Goldstein, un journaliste pour le Village Voice dans lequel il démontre que ces deux arts proviennent de la même culture, que les mêmes conditions culturelles les expliquent.

La musique rap se nourrit essentiellement de Funk et de Disco, ses principaux composants - à l'époque, le DJ Pete Jones est l'équivalent de Kool Herc pour la Disco Music avec ses propres codes, mais sans être autant en phase avec le pouls dynamique de la vie de la rue. La musique rap n'est pas automatiquement politique ou revendicatrice, comme ont souvent tendance à croire certains, mais seulement l'expression de son auteur auquel lui est demandé un minimum d'oeuvre créative.
Cela peut se traduire par la manière dont il parle - langage codé incompréhensible pour les profanes - ou de ce dont il parle - sujets, thèmes, qui interpellent ou "parlent" à un certain public, initié ou pas.

La musique rap, comme sa matrice la culture hip-hop, a grandement influencé la culture populaire américaine et donc, une partie de la planète.

L'échange ne va pas que dans un sens et il est évident que cette influence se traduit également par une transformation du Rap lui-même. Née de la créativité d'une minorité, la musique rap souffre toujours d'une mauvaise image, de commentaires négatifs, d'apphréhension et de préhugés défavorables - justifiés ou non - alors qu'elle se révèle être un fabuleux instrument de mesure social, politique et culturel de l'Amérique. "


sinon ya un autre texte...mais la jai les doigts pétés

Oui voilà j'pense que déjà la première chose à mettre au clair auprès des gens : c'est que le hiphop n'est pas un style musical, c'est pas une discipline de danse, ou quoi... le hip-hop c'est une culture qui regroupe plusieurs disciplines à savoir : le break, le rap, le dj'yng, & le graff.
Qui dit culture, dit forcément valeurs ; les valeurs du hip-hop d'après Bambataa c'était : Peace, Love, Unity & Having Fun.
Cela dit, en France, je trouve que l'apparition & l'expension de notre musique (j'vais parler que du rap) s'est jouée toute à l'envers : au lieu de créer des structures indépendantes dès le début, créer notre propre identité pour ensute à la limite aller se vendre aux majors c'est l'inverse qui s'est passé : le mouvement est apparu, rien de bien structuré mais tout le monde a tout de suite compris qu'une industrie était en train de naitre & les majors se sont emparées direct du truc. Donc tout ça pour dire, l'esprit hip-hop dans le rap... j'sais pas si il a déjà existé en France, certainement, mais d'une manière différente. Après tout, du moment que le message est positif, que la verité n'est pas prostituée dans les titres d'un mec qui fait du rap... je m'en fous de savoir c'qu'il pense de la Zulu Nation ; moi je sais que j'ai grandis avec le parcours de NTM, Assassin, Scred, Ideal J etc. dans les oreilles & la seule chose qui m'importait à l'époque et qui m'importe toujours d'ailleurs quand j'écoute du rap français : c'est de me retrouver dans ce que le mec raconte, ni plus ni moins.

Ensute, comme l'a dit je sais plus qui, si tu prends les autres disciplines hip-hop comme le break ou le graff, étant donné que ca été moins médiatisé ou du moins que c'est moins "rentable" à grande échelle, c'est logiquement beaucoup plus imprégné de l'esprit hip-hop que le rap, c'est la définition même du mot 'passion' d'ailleurs, c'est plus spontané (après je dis pas que dans le rap y'a aucun passionné, moi même j'suis un passionné de rap, j'suis à fond dans l'esprit hiphop c'est pas la question, j'parle juste en général). Et on commence aussi à voir que le dj'ing devient assez rentable & que un DJ à l'heure actuelle n'a apparament plus les mêmes motivations qu'en 82 ou 85 avec les premiers vynils de rap us qui arrivé en import en france.

Finalement, je dirais que le hip-hop fait son bonhomme de chemin, la vraie question selon moi c'est pas de savoir si un mec qui fait du rap adhère à la Zulu Nation ; ce qui m'importe c'est de savoir que c'que dit le mec c'est du vécu, c'est d'la sincérité, c'est la verité consciente quoi. Du moins c'est ma vision du truc.

(Merci a ceux qui auront tout lu lol:)

merci leskor pr le texte, il est cool,

Arko, moi je pense qu'il est important si tu revendique u nmouvement, de savoir ce que ce mouvement signifie, cest comme si Le pen s'autoproclamait fervant défenseur des droits de l'homme, peu têtre que des gens se retrouveraient dans ce qu'il dit, mais la vision des droits de l homme ne serait plus du tout celle du départ.

autre sujet :
je ne me retrouve pas forcément dans ce que dit Casey ou encore Ideal J mais ca m'empêche pas d'apprécier leur musique, je pense qu'il n'est pas nécéssaire de s'identifier absolument aux chanteurs (d'autant plus que certains se font passer pr des gangsters qu'ils ne sont pas) il faut tjrs prendre du recul